Star Trek: Enterprise
Star Trek : Entreprise
Cinquième série télévisée de l'univers Star Trek, créé par Gene Roddenberry en 1966, Star Trek : Enterprise raconte les aventures vécues, au XXIIe siècle (de 2151 à 2154), par Jonathan Archer, capitaine du vaisseau Enterprise (NX-01) et de son équipage. Ce navire est le premier vaisseau de type Distorsion 5 ...
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| Terminée | Américaine | 43 minutes |
| Science-Fiction, Action, Adventure, Drama | UPN | 2001 |
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1.25 -
Vacances sur Risa
Two Days and Two Nights
Après bon nombre de contretemps et rebondissements, l'Enterprise parvient enfin à se positionner en orbite autour de la planète Risa. Archer, Sato, Mayweather, Tucker et Reed embarquent à bord d'une navette et se rendent sur Risa...
Diffusion originale : 15 mai 2002
Diffusion française :
15 mai 2002
Réalisat.eur.rice.s :
Brannon Braga
,
Michael Dorn
,
Rick Berman
Scénariste.s :
Chris Black
Guest.s :
Dennis Cockrum
,
Dey Young
,
Donna Marie Recco
,
Geoff Meed
,
James Ingersoll
,
Jennifer Williams
,
Joseph Will
,
Kellie Waymire
,
Rudolf Martin
,
Stephen Wozniak
dewey
Enième itération d’un concept décidément cher à cette première saison : montrer l’équipage dans des situations banales (ici en permission). Et malheureusement une qui va plutôt rejoindre celles qui n’ont pas trop marché.
S’il est sympathique de suivre les vacances de chacun des membres de L’Enterprise qui ont eu le droit d’en avoir dans cette île paradisiaque sublime qui en effet fait rêver, l’épisode perd en énergie à mi-chemin parce que son concept ne suffit pas, contrairement à Fusion 8 épisodes plus tôt, à porter à lui seul l’épisode pendant 40 minutes.
D’autant que l’épisode finit par négliger certains personnages au profit de d’autres (Travis Mayweather, encore et toujours abandonné par la série) et qu’il se sent rapidement obligé de créer faussement de l’enjeu pour finalement tout laisser en plan. Si ça crée vite fait une situation comique amusante pour Malcolm et Trip (d’autant qu’ils étaient bien lourdauds en dragueurs du Dimanche), le fait qu’ils choisissent d’artificiellement ramener le fil rouge du côté d’Archer pour au final botter en touche encore une fois, c’est déjà beaucoup plus moyen. L’épisode se serait vraiment bien passé de ce pétard mouillé et la série devrait vraiment apprendre à ne remettre son fil rouge sur le tapis que quand c’est opportun. Là ça gâche juste le concept de l’épisode qui ne marchait déjà pas du tonnerre de dieu et c’est énervant.
On retiendra le réveil de Phlox, le cadeau de T’Pol à Archer « pour se relaxer », ainsi que la douce ironie du fait qu’Hoshi, la seule à vouloir profiter de ses vacances non pas dans un but de relaxation / divertissement mais d’amélioration de ses compétences linguistiques, aura été la seule à pécho tout en atteignant ses objectifs alors que les autres repartent bredouille.
Mais c’est bien tout.